L’école Hope Flowers (L’école de l’espoir florissant) se trouve à Bethlehem (West Bank) près du grand mur, bâti par Israél. L’école est de plus en plus entourré par les colonies d’Israéliens, qui aggrandissent toujours. De plus en plus l’école est repoussé dans un petit coin. Les régions Palestiniens et Israéliens se touchent prèsque, quandmême les différences en condition de vie s’opposent beaucoup. C’est une situation étouffant et effrayant pour les enfants , leurs parents et les professeurs. Par contre l’école a choissi de continuer avec l’espoir et l’optimisme. On travaille continuellement, ensemble dans toute la diversitée. pour la paix et pour améliorer les conditions de vivre.
‘Poignant is the location of the school right by the separation wall, on the boundary of the West Bank – a wall between the distinct worlds that are Palestine and Israel. The contrast in social atmosphere is stark: geographically they are close and adjacent, squeezed into such a small land, but psycho-socially they could be on opposite sides of the planet.’ *
Pionnier de l’education de paix
L’école a dévelopé une méthode intégrale pour enseigner la paix.
L’importance n’est pas dans un enseignement théorique, mais dans l’approche et le soutien actif de chaque élève individuellement, dans ce qu’ils vivent au quotidien. Dans les matiêres du curriculum on a integré la situation conflictueuse de la vie de ces enfants et leur capacité d‘agir. Par exemple, quand on enseigne la langue, les compétences de communication sont integrées. Quand on enseigne l’art, les expériences traumatiques forment une partie importante dont on peut parler et transformer les expériences douloureuses en actions positives. Les mathématiques donnent des moyens pratiques pour calculer des réparations pour les bâtiments démolis des communes. La biologie donne des perspectives pour mieux faire pousser les légumes et mieux utiliser l’ eau qui est rare dans le quotidien.
Un bon example concerne le méthode “compassionate listening” (écouter avec compassion):
Les élèves forment un cercle et sont stimulés à écouter attentivement et complètement ce qu’un autre veux dire. C’est un élargissement de leur propre expérience et les inspire pour comprendre des expériences et des véritées des autres au lieu de juger uniquement du point de vue personnel. La compassion est beaucoup plus que d’avoir pitié de l’autre ou d’être d’accord avec l’autre. Compassion veut dire qu’on peut témoigner et comprendre le point de vue de l’autre avec le coeur.
Pour les enfants et les parents
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L’école Hope Flowers reconnaît les sensibilités et subjectivités des enfants . C’est pourquoi l’école s’occupe aussi des parents et de la communauté plus large. On les invite sur une base amical. Le but est de guérir les causes de la violence des enfants et de leurs familles, qui vivent dans un pays qui a souffert déja longtemps des conflits et des épreuves.
L’école participe aux programmes d’échanges avec des écoles israéliennes et organise des contacts avec des enfants d’autres réligions et d’autres cultures. Malheureusement on a du abondonner le but d’origine de l’école: celui d’enseigner des enfants juifs, chrétiens et islamiques ensemble. Les autoritées israéliennes ont interdit aux enfants juifs de visiter le “West Bank”, l’ autre côté du mur, où se trouve l’école Bethlehemien. En ce moment on a que des élèves islamiques et des élèves chrétiens.
Des problèmes budgétaires
L’école est indépandante et ne recoît pas de subventions des autorités Palestiniennes. Les parants des enfants payent des frais de scolarités et ils payent les repas et le transport, si ils peuvent. A cause de la situation économique et du chômage important, c’est très difficile pour les parants de payer les frais. C’est pourquoi l’école est financée par moyens privés. Quand même c’est une tâche permanente de trouver les moyens de subsister.